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Les collections de cette rubrique sont des créations des Soeurs Bénédictines de Venière : vaste choix de cadres en laminage sur des thèmes variés, croix en Stratimage©, chemin de croix.

Vous trouverez ici les éditions des créations des Bénédictines de Venière en cartes et signets.

Déclinées en divers objets, les créations des Sœurs Bénédictines de Venière.

Les articles proposés dans cette rubrique ont été sélectionnés pour vous par les Sœurs.

 
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Chemin de croix

3 dimensions au choix

Chemin de croix en 15 stations

Reproduction en laminage d'après une création originale de Sœur Françoise Emmanuel pour les Églises, chapelles : Faire un chemin de croix, c'est se laisser fasciner par le Mystère du Cœur du Christ.

1. Jésus est condamné
2. Jésus est chargé de sa croix
3. Première chute
4. Jésus rencontre sa Mère
5. Simon de Cyrène aide Jésus
6. Jésus et Véronique
7. Deuxième chute
8. Les femmes de Jérusalem
9. Troisième chute
10. Jésus est dépouillé de ses vêtements
11. Jésus est mis en croix
12. Mort du Christ
13. Jésus détaché de la croix
14. Mise au tombeau
15. Résurrection

Commentaire du chemin de croix (Pdf)

Modèle :
quantité : 15 stations
dimensions : chaque pièce 17,5 x 19,5
Chemin 17,5 x 19,5
Réf : 30-CHEMIN-15-ST
600.00 €
Quantité :
Ce produit n'est plus en vente.

1.    Jésus est condamné
Voici votre Roi.
A mort ! A mort ! Jn19, 14-16
« Ils m’ont préféré Barrabas ».
Méprisé, rejeté des hommes, homme de douleurs, familier de la souffrance, ce sont nos souffrances qu’il a portées, ce sont nos douleurs qu’il a supportées. Isaïe 53, 3
Ici le Christ est mis en valeur alors qu’il est entouré d’une foule hostile : les autorités politiques, religieuses de l’époque le condamnent,  foule sans visage qui nous représente aussi. Christ est toujours condamné, dorure des vanités humaines, clinquant de nos prétentions… devant ce vrai Roi si humble qui se tait.
O Christ si doux, si digne, vêtu de pourpre royale, nos paroles de violence te sont des gifles, les méfaits de nos vies, coups et crachats et notre défiance te touche au cœur.

2.    Jésus est chargé de sa croix
Lui, le Créateur des mondes, Jésus épouse la croix, son acceptation est plénière, il ne subit pas sa passion. Il va au devant d’elle, bras ouverts, dans sa liberté de Fils. Il est, en cette heure, Un avec le Père.
Agneau offert en sacrifice, l’Enfant du Père, il représente l’enfance, l’innocence en croix. Il va sur la voie douloureuse jusqu’au bout de l’Amour et du Pardon ; il porte toutes nos croix, assume toutes nos épreuves.
Il fait de ce chemin de croix un chemin « pro nobis ».

3.    Première chute
« Ma grâce te suffit, ma puissance donne toute sa mesure dans la faiblesse ».
« Lorsque je suis faible, c’est alors que je suis fort ». Saint Paul
La faiblesse du Christ est revêtue de la Puissance l’Esprit ; son abandon entre les mains du Père est puissance d’aimer…
Les trois chutes décriront une sorte de progression dans la kénose, l’abaissement du Fils est très marqué : il tombera de plus en plus lourdement au sol, vêtement en désordre jusqu’au paroxysme de l’épuisement.

4.    Jésus rencontre sa Mère
« Il sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut. Le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la famille de Jacob et son règne n’aura pas de fin ». Luc 1, 32-33    

« Je suis la servante du Seigneur, que tout se passe pour moi comme tu l’as dit ». Luc 1, 37

Consentement ultime. En eux, point de péché.
Jésus peut reposer son regard et son cœur sur la Toute Pure. Elle porte, corédemptrice, le poids du péché du monde.
Nouvelle Eve et nouvel Adam dans les douleurs de l’enfantement du monde nouveau.
Marie, par sa présence, sa force, son amour, soutient son Fils. Elle unit sa volonté à celle de son Fils pour faire l’œuvre du Père dans une confiance héroïque. Dieu sait. Il sera fidèle à ses promesses.
Par le regard, ils se disent tout et puisent force l’un dans l’autre.

5.    Simon de Cyrène aide Jésus
Homme écrasé, roseau fragile qui ploie sous le fardeau, tu reçois un peu d’humanité sur la route impitoyable du calvaire. Un court instant de repos sur le chemin d’un condamné. Geste éternel gravé dans le cœur du Christ.
Christ, saurons-nous t’apporter ce réconfort ? Saurons-nous te suivre et porter sur nos épaules tout le poids de ta croix ?
Bienheureux es-tu, toi qui t’ouvres à la misère de ton frère ! Tu partages la sublime compassion de ton Dieu et la croix, déjà, s’illumine de gloire.

6.    Jésus et Véronique « Qui me voit, voit le Père »
Heureuse celle qui a reconnu en ce visage l’Amour du Père pour les hommes. Heureuse celle pour qui seul Jésus compte, un Jésus à aider. Délicatesse d’un amour qui ose tout. Force d’un amour intrépide qui fend la foule et les soldats pour essuyer le visage du Bien-Aimé.
« J’ai trouvé Celui que mon cœur aime».
Jésus est à genoux, devant nous, Homme humble et Tout-Puissant qui en se relevant emportera tout homme vers le Père.

7.    Deuxième chute
« Père, si cette coupe ne peut passer sans que je la boive, que ta volonté se réalise ». Matt 26, 42-44
Jésus tombe
Le Tout-Puissant devenu le tout faible, ô mystère de l’Amour qui va jusqu’à de telles extrémités.

8.    Les femmes de Jérusalem
Voici les lamentations sur le premier-né… Cris, pleurs, compassion… mais est-ce pour une conversion ?
Saurons-nous consoler le Cœur du Christ ?
« J’ai cherché des consolateurs et n’en ai pas trouvés… »
Pourquoi te drapes-tu de rouge et te vêts-tu comme un fouleur au pressoir ?
A la cuve, j’ai foulé, solitaire. Isaïe 63

9.    Troisième chute
« Je me dessaisis de ma vie pour mes brebis ». Jn10, 11-15
Corps tourmenté, désarticulé, la croix se fait de plus en plus pesante, oppressante. Kénose totale du Christ, faiblesse maximale… Il est tombé sur nos chemins. Au fond, les murs de Jérusalem. Ne fallait-il pas qu’il meure hors des murs de la ville ?
Ville d’obscurité et de lumière, indifférente à celui qui s’écroule à ses portes. Il est seul, dans une nuit de plus en plus profonde. Nuit de toutes nos épaisseurs, de notre dureté, surdité, aveuglement.
L’Amour n’est pas aimé.

10.    Jésus est dépouillé de ses  vêtements
« J’entends les calomnies de la foule ».
Marionnette désarticulée, Pantin tiraillé par les uns, raillé par les autres, le Très Pur, l’Immaculé, le Vulnérable, le Christ infiniment douloureux, que l’on dévêt, que l’on met à nu… A nu sa souffrance, à nu sa blessure d’avoir été trahi, vendu, renié… A nu sa solitude, et eux qui le tiraillent de tous côtés, qui le raillent et l’humilient… Et nous qui laissons faire…
Seigneur, pardon.

11.    Jésus mis en croix
« O Père, délivre-moi des mains hostiles qui s’acharnent ».
A terre est cloué le Sauveur, sans honneur, sans liberté.
A terre semblent cloués tous nos espoirs humains, et ces hommes qui s’acharnent à faire tenir Dieu entre quatre clous…
Qui souffre ainsi ?
Jésus, le Fils de Dieu, celui qui fit le ciel et la terre.

12.    Mort du Christ
Le Christ, paisible, est tout offert, il est élevé de terre, il repose sur la croix qui dessine aussi un calice. C’est un offertoire ;
L’Eau et le Sang, figure des sacrements, sont répandus jusqu’à la fin des temps. Le Christ s’est vidé de lui-même, anéanti, pour nous donner la vie.
« Voici mon Sang versé pour vous et pour la multitude ».
« Père, entre tes mains je remets mon Esprit ».
De son sein couleront des fleuves d’eau vive, du creux du Rocher ont jailli l’Eau et le Sang.
Allons à la source étancher notre soif, retrouver dans la pourpre de son Sang notre blancheur perdue.

13.    Jésus détaché de la croix
Fruit mûr qui tombe de l’arbre de la Croix, Christ élevé de terre, tu es descendu du trône que les hommes t’ont dressé.

14.    Mise au tombeau
Semence jetée en terre, tout est accompli. C’est le temps de la moisson.
Ta vie donnée, branche mise à nu, ta vie cachée au tombeau, branche mise à fruits.

15.    Résurrection
Mort, où est ta victoire ?
Celui que tu retenais en ton pouvoir, le Père l’a ressuscité. Il est là, bien vivant, à jamais, pour toujours avec les siens.
Mort est morte. Alléluia !

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